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CR Millevaches 2009 par DIV19


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Mardi 22 décembre 2009 2 22 /12 /2009 21:42

http://div19.over-blog.com/

Millevaches, 40 ans après . . .

Après une longue absence sur le net, il est temps de reprendre le fil de ma vie motarde, et particulièrement à l'occasion de la tentative de renouveau de la concentration des Millevaches, 40 ans après sa création.

A la fin des années 60 et début des années 70, les "Millevaches" étaient aussi mythique que les "Éléphants", référence incontournable lors de mes jeunes années de motard, ou comme les "Pinguinos" actuellement.

Ce projet me tient à cœur à plusieurs titres :


  • J'y avait fait une trop brève incursion, probablement en 1974, mais un de nos potes de la bande de l'époque n'ayant pas voulu rester, nous sommes rapidement reparti ;

  • Résidant (de temps en temps) dans la région, j'ai eu le plaisir d'apporter un humble et ponctuel apport au comité d'organisation lors des premiers préparatifs ;

  • Enfin, voici une excellente occasion de se retrouver avec une joyeuse bande de compères dont certains vont pouvoir recevoir le baptême d'une hivernale.



5 copains sont disponibles et répondent favorablement à ce projet. Ils sont des habitués de ce blog et nous les retrouvons fréquemment dans mes chroniques. Jean-Marie (Blanco) d'Agen, Éric des Landes, Pascal de Bretagne, Ulrich de Manosque et André (DD07) d'Ardèche.


Jean-Marie arrive en début de semaine. En grand maître des Kawasaki, il est venu vérifier avec moi la qualité de ma nouvelle acquisition, un 1200 ZRX. Le mercredi nous allons donc en banlieue de Clermont-Ferrand et découvrons une machine qui nous séduit autant que son propriétaire nous met en confiance. Contrairement à nos prévisions, nous nous contentons de la démarrer et n'allons même pas l'essayer sur la route. Les transactions terminées, nous retournons sur Bort, Blanco profitant de la machine, mais aussi du crachin qui nous accompagne dans la tombée de la nuit . . .

La kawasaki prend place aux côtés des 2 vénérables Yamaha qui totalisent à elles deux plus de 400 000 km.


Nous consacrons le jeudi aux approvisionnements, ce qui nous permet de remettre en route mon mulet "Div3". Cette vénérable machine âgée de prés de 7 ans dépasse allègrement les 300 000 kms et n'a pas roulé depuis 6 mois ! ! ! Un peu de poussette, des compléments d'huile, de liquide de frein et un peu d'air dans les pneus, la voilà repartie, toujours vaillante, même si ces réactions sont un tantinet déconcertantes par rapport à Div4, et particulièrement décevantes vis à vis du ZRX.

Nos emplettes nous conduisent à Riom-ès-montagnes dans une fromagerie où j'ai mes habitudes. Nous échangeons nos montures sur cette route diabolique que DD07 à renommer la R.A.B., Route A Bonheur, et débordons largement du simple ravitaillement pour se délecter de ces routes sèches et de ces enchainements fabuleux.

Il nous faut aussi préparer les repas. En effet, la maison de Bort est notre camp de base, nous y résiderons le vendredi soir et le dimanche soir et je ne veux pas être rivé en cuisine par la logistique, mais profiter de ces moments qui s'annoncent sous les meilleurs auspices. Jean-Marie salive devant l'élaboration d'un méga chou farci et goutte régulièrement les résultats. Il en profite aussi pour mes piquer mes combines lors des préparatifs d'un tarte Tatin dans une démarche qu'il trouve peu orthodoxe !

Le vendredi en fin de matinée nous reprenons nos montures pour aller à la rencontre de Pascal sur Limoges. Nous avons rendez-vous en début d'après midi à notre point de rencontre habituel, le "Mas Cerise" à Feytiat, et il doit nous appeler aux environs de Poitiers.
Nous nous arrêtons au relais motard de Meymac où nous découvrons que Pascal aura un peu de retard sur l'horaire prévu. Nous arrivons donc au point de rendez-vous en avance et commençons à manger quand le side Comanche vient se garer sous nos yeux. Nous faisons le point de l'avancement de l'équipe du sud-est. Ulrich a retrouvé André à Alès et ils se restaurent à Langogne. Nous convenons qu'il nous rappellent de Saint Flour afin de savoir si nous venons à leur rencontre, mais cela semble compromis.

La Versys de Dédé et le R1 d'Ulrich qui fait encore le fier sur la route de l'aller . . .


Blanco s'échappe rapidement avec le ZRX qu'il a décidé de tester, mais ce roadster n'a tout de même pas le comportement de son denier ZX19R, véritable avion de chasse. Peu après Bugeat, des gendarmes s'installent en bout d'une ligne droite. Heureusement que notre rythme soutenu nous a permis de passer avant l'installation complète du système de visée. Notre testeur de Kawasaki aurait eu beaucoup plus de problèmes que ses suiveurs ! ! !


Une rapide pause à Meymac nous permet de constater que de nombreux équipages motocyclistes commencent à arriver, avec une forte proportion de side-cars. Blanco est étonné de nous voir arriver sur ses talons alors qu'il pense avoir mené un train particulièrement rapide. En fait, j'ai coupé à travers le centre de Meymac alors qu'il suivait les panneaux et contournait la ville . . .

A Bort, le R1 de Ulrich et la Versys d'André sont sagement garés devant la maison. Nos compères nous attendent depuis une dizaine de minutes. Nous déchargeons les motos en provoquant une certaine animation dans ce quartier plutôt calme, au grand plaisir de mes quelques voisins prévenus de cette agitation ponctuelle.

Les retrouvailles se poursuivent autour d'un bon café qui réchauffe les corps, l'ambiance n'ayant aucun besoin d'être soutenue par de tels artifices. Il est ensuite temps de démarrer l'apéritif (avec les cakes aux olives d'Annie, épouse d'André – toujours un régal) et d'attendre Éric qui arrive des Landes en voiture puisqu'actuellement il n'a plus de moto.

Le chou farci semble particulièrement apprécié et Blanco est étonné du résultat de ma Tatin malgré la technique utilisée. Il faut dire que nous avions mis au point ces recette et procédure dans mon dernier restaurant avec Jacques, un autre motard connu à l'école hôtelière (cf. http://div19.over-blog.com/19-categorie-10354205.html)et que nous en avons concoctées quelques centaines de kilos.
Les délires vont bon train, et Blanco part dans un phantasme où chacun apporte des compléments de plus en plus cocasses. L'idée de base serait d'avoir un déambulateur dans le side, d'arriver à une terrasse de café par exemple, et de nous précipiter sur Dédé qui ne tiendrais pas sur ses jambes . . .Tenir l'équilibre de sa moto lors de son arrêt, l'assister pour descendre, le soutenir dans une marche désordonnée, lui faire prendre une tisane, l'aider à remonter sur la bécane et à prendre son élan et . . . le voir repartir avec sa vivacité légendaire . . .de quoi étonner le badaud ! ! ! en attendant, nous avions tous mal au ventre d'un fou rire qui s'amplifiait à chaque ajout.

Éric, toujours en chaleur (pour les Pinguinos il roulait avec seulement un T-shirt sous son blouson) donne un coup de main à Pascal pour sortir son P. L. ! ! !


Samedi matin nous préparons nos montures et Éric s'aperçoit qu'il a oublié de prendre son équipement . . . Heureusement, nous avons tous les deux une certaine taille mannequin et je possède suffisamment de tenues pour pouvoir l'équiper correctement. Même si nous n'avons pas des conditions climatiques dignes d'une hivernale, le fond de l'air est frais et nous tenons tous à un minimum de sécurité apportée par un équipement convenable. D'ailleurs, vu les conditions climatiques plutôt clémentes, Pascal me demande si nous pourrions trouver un endroit avec de la neige pour une séance photo. Je propose que dimanche nous allions vers le Mont Dore où nous pourrions manger et bénéficier d'un cocon blanc pour nos bécanes ! ! !

Je garde Div3 dont le comportement peu dérouter un pilote habitué à des motos plus modernes et moins usées. Éric enfourche Div4 et reste timide. Les réactions de la Diversion le change totalement de ses dernières Yamaha R1 et FJR dont les parties cycles et les puissances sont sans communes mesures !

Voici le type d'engin fréquemment rencontrés sur les hivernales. Celui-ci est particulièrement propre.


Arrivé à Meymac, nous allons chercher nos tickets, prendre la mesure de l'évènement au travers du nombre de personnes et des types de montures. Comme dans toutes hivernales, les sides sont largement représentés sous toutes ses formes, du Zeus à l'Oural en passant par diverses japonaises allemandes ou américaines. Autour d'un café Éric nous relate ses impressions quant à Div4. Dans toutes les courbes il avait tendance à redresser la machine qui se tortille allègrement lors de la mise sur l'angle. Je le rassure en lui expliquant qu'à mes début avec cette bécane j'avais les mêmes curieuses sensations. Maintenant je n'y fait plus vraiment attention, ayant pris une certaines habitude après plus de 500 000 km en Diversion. Actuellement, lorsque je ressens ce louvoiement, c'est qu'il est temps que je calme le jeu ! ! !

Nous repartons ensuite vers la commune de Millevaches distante d'une quinzaine de kilomètres et installons notre campement dans l'un des herbage à notre disposition. L'organisation semble aguerrie. De grandes tentes abrite une logistique impressionnante et nous testons rapidement le vin chaud car la température commence à baisser et un vent frisquet nous agresse régulièrement. Ulrich est tendu pour manœuvrer sa sportive dans l'herbe grasse d'un terrain non nivelé.

Installation dans la bonne humeur générale.


Lorsque nous repartons faire nos courses, les tentes sont encore assez clairsemées, mais à notre retour en fin d'après midi c'est la crise du logement. Notre feu a disparu, et nos voisins sont maintenant très proches. Serrés comme ça nous devrions nous tenir chaud. Ce ne sera pas du luxe car nous sommes maintenant en négatif et la tombée de la nuit nous offre de vivifiantes bourrasques de vent du nord glacé, véhiculant un léger grésil. Le délicat saupoudrage blanc estompe la verdure de la prairie et s'agglutine autour des toiles. Nos néophytes des hivernales, André et Ulrich, bénéficient donc d'un baptême digne de ce nom.

Ulrich est écœuré par la résistance
au froid d'Éric.

Fatigués, j'accompagne Éric et nous sommes les premiers à nous coucher, bientôt suivi par Ulrich. La musique nous berce mais n'arrive pas à réchauffer suffisamment l'atmosphère. Les derniers viennent nous rejoindre vers 2 heures et la sono s'éteint à 4 heures.

Au cours de la nuit André se laisse pousser les cheveux . . . Annie le reconnaitrait-elle ?


Je me lève vers 6h00 et pense être le premier de notre groupe. Je discute avec les premiers "lève-tôt" et les fidèles officiants du bar dont Gillou, autour d'un café bienvenu. Bill, le grand maître du renouveau de la concentration des Millevaches nous rejoint rapidement. Nous dissertons sur cet événement qui dépasse très largement nos espoirs les plus fou. Lors de nos premières réunions, il y a un peu plus d'un an, nous pensions que la venue de 200 à 300 personnes serait une excellente base de relance de ce mythe. Ce matin, l'estimation est de 1 800 à 2 000 motos ! ! ! De plus tous les sondages que nous avons effectués concordent. Les participants apprécient cette manifestation et nombreux sont les plus anciens à savourer cette ambiance bon enfant des rassemblements libres organisés à l'époque par les M. C. P. (Moto Club Pirate, refusant toute affiliation). Ces propos sont d'ailleurs notre meilleur baromètre de réussite puisque nous tenions avant tout à respecter autant que possible l'esprit du créateur (néanmoins transposé dans notre époque qui impose de nombreuses nouvelles contraintes, entre autre déclaratives et juridiques).


J'en profite pour faire le point sur l'état de la route. Les premiers kilomètres sont scabreux mais la situation s'améliore ensuite. Par contre, il neigeotte sur Meymac.


Éric me rejoint, rapidement suivi de André qui cherche Ulrich. En fait, celui-ci était le premier debout, son semblant de sommeil vaincu par le froid. Pauvre Ulrich, il doit être maso. Et pourtant, en son temps, lors d'un passage à Nogaro, Blanco l'avait bien prévenu (cf. http://div19.over-blog.com/categorie-10158540.html). En 2007, il se trouve coincé entre les deux briscards que sont Dédé et moi même alors qu'il a tout juste 6 mois de permis. 3 jours de virolos à gogo entre Ardèche, Drôme et Ventoux avec le 600 Bandit, puis une semaine de Pyrénées en Yamaha R6. Ensuite, s'enchainent les épisodes, toujours de montagnes, Massif Central, Cévennes ou Alpes.

En fonction de l'état de la route, nous décidons d'attendre que la température remonte et surtout que la chaussée soit traitée. Nous laissons donc dormir Pascal, à mon grand étonnement car nous sommes souvent les deux premiers levés. Nous déambulons dans le campement quand le vent accroit sa force et nous amène de la neige. Je propose alors d'activer le départ avant que la situation ne devienne vraiment problématique. A partir du moment où Pascal a accepter de se lever et qu'il a bu son café, le pliage et le rangement sont mené tambour battant. D'un commun accord nous abandonnons l'idée d'une escapade au Mont Dore et rêvons déjà d'une douche bien chaude à la maison.

Avant de se mettre en route je préconise que nous laissions de larges espaces entre nous, autant pour éviter des réactions brutales en cas de chute de la moto précédente que pour laisser passer et s'intercaler les voitures qui n'ont pas nos contraintes d'équilibre. Certains d'entre nous rigolent lorsqu'ils entendent plusieurs participants s'exclamer en voyant Ulrich : "Celui-là il est gonflé avec sa sportive".

La légère pente du départ donne le ton et, malgré une déclivité faible, la relance des motos semble se faire à la godille. Tout de suite après, légère descente puis remontée tout en virages. L'allure est sénatoriale et les bottes fréquemment au sol. Même le side rencontre des difficultés pour tenir un cap constant. Un passage en sous bois, en ligne droite mais ponctué par une courbe nous annonce, par sa blancheur brillante, un passage ardu. Petit coup de warning et appels de stop, rétrogadage, et c'est partit pour l'instant de vérité. Je retrouve une sensation mainte fois éprouvée, celle d'avoir l'impression d'être sur un tapis volant. Je ne touche à rien, maintient juste un légère accélération, mais le flottement est quasi constant. Un poil d'angle, une pâle accélération ou un freinage timide auraient de fâcheuses conséquences sur un équilibre bien précaire. D'ailleurs, un motard vient de relever sa machine et bricole sur le bas côté.

En arrivant sur Meymac nous retrouvons la route de Limoges et la situation s'améliore. J'augmente gentiment le rythme car la chaussée est détrempée et les risques de verglas restent présents. Toutefois, je dois ralentir pour attendre mes suiveurs qui sont encore sous le coup de ces premiers kilomètres. J'apprécie d'ailleurs grandement cette attitude. Je précise souvent, surtout aux jeunes, que c'est à moi de les attendre et qu'en aucun cas ils ne doivent essayer de rouler au delà de leurs possibilités (réelles ou ressenties).

A Bort, tout le monde se détend et les motos sont rapidement déchargées et remisées au garage. Chacun échange sur ces conditions particulières et Ulrich est singulièrement satisfait d'avoir traversé cette nouvelle expérience concrétisant nos informations et conseils. Je m'attelle ensuite à préparer un repas, efficacement secondé par Blanco qui apprécie sûrement autant que moi de se plonger dans ces activités. D'ailleurs, je pense sournoisement qu'il en profite largement pour me piquer mes astuces. Les autres participent à leur niveau en gérant efficacement l'apéritif accompagné, entre autre de la saucisse d'Ardèche souvent présente dans les fontes d'André.

Blanco à la manœuvre pendant que je tranche les tomates sous l'œil rigolard d'Ulrich.

Dans l'après midi, Éric nous abandonne pour retourner dans les Landes et la douce quiétude de la maison nous entraine inexorablement vers une sieste réparatrice. Seul Blanco reste fidèle au match de rugby. Revigorés, nous nous retrouvons plein d'entrain autour de la traditionnelle truffade. Histoires, chahuts et délires animent joyeusement cette soirée.


Lundi matin, je suis debout à 5 heure pour constater de timides chutes de neige qui blanchissent les véhicules mais pas le sol. A 6H30 c'est une tempête et je deviens inquiet pour les retours prévus ce matin vers le sud-est et la Bretagne. Lorsque les autres se lèvent les nuages laissent apercevoir quelques trouées bleues, mais la température reste négative.

Les sudistes mettront plus de 2 heure pour rallier Saint Flour (1 heure en temps normal et parfois beaucoup moins – n'est-pas Dédé et Carlo ! ! !). Pascal, qui avait hésité à suivre mon conseil de prendre l'autoroute par Brives et Limoges, ne regrette pas cet itinéraire. Les conditions étaient tellement mauvaises qu'il se faisait doubler par certains camions. Les projections de ces derniers gelaient au fur et à mesure sur lui. Il mettra 3 heures de plus que prévu.

Le Comanche est déjà en tenue camouflage au départ. Quant aux sudistes, ils se préparent un joyeux moment dans la montée du col d'Entremont entre Riom et Murat.

Quant à Blanco, il retourne sur Agen le mardi avec aussi de mauvaises conditions. Mais ce faux-frère était en voiture . . .

PS 1 :
Un très grand merci à tous ceux qui se sont investit dans ce projet et pour son excellente réalisation.

Pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître.


Fédérer les bonnes volontés de plusieurs moto-club régionaux (particulièrement Meymac) sans utiliser ces structures pour coller au plus prés à l'esprit de l'époque d'un rassemblement libre était déjà une gageure.

Réagir, dans les dernières semaines et jours, à la recrudescence des inscriptions a nécessité un engagement fort pour négocier de nouveaux terrains, élaborer la logistique ou remettre en cause les choix initiaux (convoi de Meymac à Millevaches par exemple). Le cap des 500 était déjà bien au delà des premières perspectives, mais il fut vite évincé par le cap des 1 000 suivi d'une réalité estimée entre 1 800 et 2 000 motards.

Bravo à vous tous, et maintenant que "LES MILLEVACHES" est ressuscitée, VIVE LES MILLEVACHES.

PS 2 :
Album photo accessible ci-contre et lien vers vidéo FR3 :
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